Sonia Rovski et Olive Perrusson sont arrivées avec une proposition radicale: un tom basse, un accord de quelque chose, une ou deux boucles d’onomatopées comme base musicale et des mots entre joie lactée et les 4×4 du bois de Boulogne. Comme des fusées qui n’ont peur de rien, elles ont joué des percussions sur un casio cheap, de l’alto détuné aux accents indiens, de la guitare tournevis, des flûtes d’opium et aussi quelques monkeys électroniques… Il a fallu des ratures, et beaucoup de textures pour mettre tout ça en musique, ce fût comme danser sur le périphérique par moment !
Réalisation Nicolas Dufournet
www.facebook.com/Rovskiofficiel/
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